Arduilanar, seigneur de Caledor

Bon, j'ai du pain sur la planche, alors je m'y mets.

Une chaude journée d'été, cinq ans auparavant. Les reflets éclatants du Soleil sur les montagnes blanches de Caledor. La fraîcheur d'un prairie vallonée à l'ombre des grands pics. Et là, assis juste çà côté de lui, son frère, son frère aîné qu'il avait toujours pris comme modèle depuis son enfance, et qui revenait du front du Nord.
En effet, les sombres Druchii avaient mené une fois de plus une expédition guerrière contre le territoire de Chrace, à partir duquel ils comptaient répandre la mort, la douleur et la destruction sur tout le continent elfique. Quand les premières Arches Noires avaient vomi sur les rivages immaculés d'Ulthuan leurs flots de guerriers, de monstres et de machines de guerre, la population avait été évacuée vers la capitale Tor Achare. Le dynaste qui commandait l'armée des elfes noirs entreprit aussitôt le siège de la cité, entraînant l'appel par le prince de Tor Achare aux secours des autres royaumes. Caledor avait été un des premiers à répondre, envoyant six Dragons, un mage Dragon et cinq princes, qui délivrèrent rapidement la cité assiégée. Les Druchiis se replièrent et se dispersèrent dans la forêt, ce qui impliquait pour les chasseurs de Chrace de longs mois de traque avant que le royaume ne retrouve sa tranquilité. N'étant plus d'aucun secours, les Princes de Caledor purent rentrer dans leur royaume, non sans les grands remerciements de la population - remerciements qui d'aileurs leur importaient peu, les elfes hautains de ce royaume considérant les bûcherons de Chrace comme des "sous-elfes".
Thirnaedil était ainsi rentré chez lui, et il racontait ses exploits à son jeune frère qui buvait toutes ses paroles.
"Arduilanar, tu n'es plus un enfant, et maintenant que tes cent ans ont passé, je pense que je peux désormais te parler franchement, comme à un adulte sage et responsable. C que je vais te dire risque de t'étonner, aussi ai-je attendu d'être sûr, avant de te révéler ceci.
-Sûr de quoi ? De quoi parles-tu ?
-Ceux de notre race sont engoncés dans leur tradition d'immobilisme et refusent d'admettre certaines évidences qui pointent pourtant sous leur nez. Ils ne sont pas prêts à reconnaître ce que j'ai découvert, mais toi, tu n'es pas comme ça, n'est-ce pas ?
-Je ne peux pas te répondre tant que je ne sais pas ce que tu as à me dire.
-Jure d'abord par Asuryan que tu ne répéteras jamais à personne ce que je vais te dire.
-Je n'ai vraiment pas le choix ?
-Non.
-Alors, je te le jure sur Asuryan tout puissant.
-Très bien. Toi qui as déjà commencé à te battre et à affronter tes ennemis, tu as sans doute déjà dû connaître l'ivresse de la bataile, la soif de mort et de carnage, je me trompe ? Quand j'ai vu en face de moi les traîtres à notre sang, les meurtriers de nos frères, la haine et la fureur sont devenues incontrôlables en moi, et je me suis rué depuis les cieux vers leurs rangs pour les éventrer. Mais cela ne suffisait pas. J'ai sauté du dos du dragon, et je les ai affrontés directement. Leur sang m'éclaboussait, mon épée se brisa, mais je réalisai un véritable carnage. Et quand la bataille fut finie, je me sentis envahi par la volonté de Khaine.
-Khaine ? Mais...
-Je sais ce que l'on t'a appris. Mais Khaine est un dieu qui mérite qu'on le vénère, crois-moi. Il peut nous donner la force de vaincre nos ennemis, porter notre rage à son comble, s'emparer de nous tandis que nous déchirons de nos lames les corps de nos adversaires..."
Arduilanar perçut dans les yeux habituellement bleu limpide de son frère un étrange éclat, une lueur de folie. Mais poussé par sa curiosité, il ne dit rien.
"-Je suis, dans le plus grand secret, devenu un adepte de ce dieu, poursuivit-il. Et il m'a transformé. Durant les combats, j'étais un fauve obnubilé par le sang et la mort, et j'aurais voulu les déchiqueter de mes mains nues. C'est alors que je vis dans leurs rangs une furie. C'était la première fois que je contemplais un tel spectacle. Ele dansait devant mes yeux de victimes en victimes, les corps s'amoncelaient derrière elle, et elle me parut une vivante incarnation de Khaine. C'est alors que je compris. Les elfes noirs nous ressemblent. Ils sont plus proche de nous qu'on ne pourrait le croire. Ma hargne au combat avait effrayé les miens, mais je me reconnaissais en eux.
Le choix qui se présentait à moi était dur. J'ai longuement hésité avant d'agir, car mon acte pourrait sembler à une trahison aux yeu des miens. Mais je devais tenter ce rapprochement entre nos deux peuples. La nuit venue, vêtu d'une cape noire, je me rendis dans le camp des Druchii, et m'aventurai jusque dans la tente du seigneur qui les commandait. J'ai discuté avec lui, et au matin, quand je suis rentré dans la ville de Tor Achare, ma décision était prise.
-Attends... Tu dis que tu as parlé avec leur chef ? Il n'a pas essayé de te tuer ?
-Disons que j'avais un argument assez convaincant... La tête du prince de Chrace.
-Quoi ?! Tu.. tu l'as tué ?
-Je n'avais pas le choix. Le lendemain, j'ai participé à la bataille comme si de rien n'était, mais bientôt, je quitterai Caledor pour Naggaroth. Je teindrai mes cheveux en noir et je rejoindrai les Druchii. Tu devrais le faire, toi aussi, mais je ne veux pas te forcer... Sache néanmoins que le salut pour notre peuple passe par l'adoration conjointe de Khaine et la réunification, qui n'est possible que par la force des Druchii.
-Comment peux-tu dire ça... Tu as rejoint les assassins de notre race, les traîtres, les infâmes, les serviteurs de malékith le Bâtard !
-Malékith aurait dû régner, depuis toujours. Il méritait d'être le souverain légitime, mais ceux de notre race en avaient peur. Les Asur ont toujours craint la violence, alors qu'elle ne peut que les servir. J'espère qu'un jour, Malékith le Grand siégera à Anlec sur tout le peuple elfique réuni, et alors nous pourrons porter ensemble la guerre au nom de Khaine sur le monde entier. Ceux qui refuseront l'ordre nouveau devront périr ou se soumettre. Pour nos parents, il est trop tard.
-Que veux-tu dire ?
-Quand je t'ai demandé de venir m'attendre ici, dans la Vallée des Dragons, je leur ai dit la même chose qu'à toi. Mais ils ont refusé d'entendre raison. Notre père a même tenté de me tuer. Mal lui en a pris."
Arduilanar ne réagit pas aussitôt. Il sentit les larmes poindre au coin de ses yeux, ne coyant pas, ne pouvant croire à tant d'ignomiie et de fourberie de la part du frère qu'il avait toujours admiré. Ses yeux s'embuèrent de larmes, mais il les ravala et se leva, droit et fier.
"-Immonde assassin... Aujourd'hui même tu vas payer pour tes crimes...
-Ne fais pas ça, Arduilanar. Tu risques de le regretter.
-C'est toi qui vas regretter d'avoir trahi notre sang !"
Il dégaina son épée, prêt à se battre. Son frère leva les yeux au ciel.
"-Très bien, puisque tu ne me laisses pas le choix..."
Aussi soudaineent que la foudre tombe du ciel, il se rua en avant, dégainant à son tour sa longue épée, rouge du sang de ses parents. Avec un hurlement sauvage, il fit pleuvoir les coups sur son jeune frère, toujours parés in extremis par Arduilanar qui, contrairement à Thirnaedil, ne portait pas d'armure. La lame rouge entailla sa chair, et il vit sa chemise blanche et bleue qui se tachait de sang. Il n'était pas de taille face à son frère, et il le savait. Il prit ses jambes à son cou et fuit vers les montagnes.
"-Un lâche, oui, tu n'es qu'un lâche, comme tous ceux de ta race ! Tu n'as pas le courage de périr dignement ! Tu me fais honte !"
Thirnaedil partit à sa poursuite.
Arduilanar courait à perdre haleine. Il devait trouver une idée, et vite. Il n'osa même pas jeter un coup d'oeil derrière lui pour voir si son frère le rattrappait. Il sentait les larmes qui montaient à ses yeux. Il les essuya d'un geste rageur en maudissant sa faiblesse. "Il ne convient pas à un seigneur de Caledor de pleurer !"
Il n'avait nul part où aller. La ville la plus proche était bien trop loin pour qu'il puisse l'atteindre à pied, et si ses parents étaient bel et bien morts, comme le prétendait Thirnaedil, il ne lui restait guère de chance d'échapper à son frère. Le plan magistral qui avait pour but de lui sauver la vie ne venait toujours pas. Et puis il se rappella. Durant son enfance, il aimait plus que tout partir se réfugier dans la Caverne aux Dragons, où sommeillait paisiblement Galemion, le Dragon Stellaire qui servait sa famille. Il appréciait la solitude, et l'immobilisme du dragon endormi lui semblait rasurant.
Il bifurqua aussitôt vers la gauche, droit vers les montagnes. Il entendit son frère lui hurler des insultes, mais il n'y prêta pas attention. Il devait coûte que coûte arriver avant lui à la Caverne aux Dragons.
Enfin, le gouffre noir apparut devant lui. Il rassembla toute son énergie pour effectuer un sprint jusqu'au fond de la grotte, réveillant au passage quelques chauves-souris étonnées. C'est alors qu'il le vit. Galemion, dragon stellaire, allié de la famille Theril depuis la nuit des temps.
Arduilanar espérait qu'il serait encore éveillé. C'était sa chance, sa seule et unique chance. Si Galemion dormait déjà, il n'aurait aucun espoir de le réveiller pour qu'il lui vienne en aide.


Et voilà, je dois retravailler tout ça...
J'espère que je ne vais pas craquer avant la fin.

Pourquoi retravailler ?

Bon, je commence.

Une chaude journée d'été, cinq ans auparavant. Les reflets éclatants du Soleil sur les montagnes blanches de Caledor. La fraîcheur d'un prairie vallonée à l'ombre des grands pics. Et là, assis juste çà côté de lui, son frère, son frère aîné qu'il avait toujours pris comme modèle depuis son enfance, et qui revenait du front du Nord.

Sous le soleil éclatant d'une après-midi d'été, une silhouette est assise sur un rocher, à l'ombre des grands monts de Caledor. Dans une prairie vallonée, agréablement fraîche en ces temps de chaleur, le jeune Arduilanar Theril attend patiemment. Son regard vagabonde de tous côtés, à la recherche de celui qui lui a donné rendez-vous, et se fixe brièvement sur un ruisseau, des fleurs, l'antre béante d'une caverne, un rocher... Enfin, il perçoit la présence familière de son frère. Il se lève dans un élan de joie, le sourire aux lèvres, et court jusqu'à Thirnaedil, son frère aîné.

Ah oui, il fallait présenter ton perso. C'est bien.

"un ruisseau, des fleurs"
Ne t'attend pas qu'à des commentaires agréables et encourageants là-dessus.

J'adore le contraste entre les deux perso elfe de l'histoire. L'un est froid, expéditif et a subit d'atroce torture tandis que l'autre est une chochotte de première.

Qu'est-ce que je disais.

Tiens, à ce propos, ce serait bien qu'Arsuynar soit lui aussi une chochotte de première avant sa capture. Pour l'évolution.

Hors de question! J'ai calquer ce perso sur moi il manque juste le coté sadique. Quoi? comment ça je me rapproche plus de l'elfe noir que du haut elfe?

Ok, je supprime les fleurs. Mais vous vous attendez à trouver quoi dans une vallée de montagne ?

Sous le soleil éclatant d'une après-midi d'été, une silhouette est assise sur un rocher, à l'ombre des grands monts de Caledor. Dans une prairie vallonée, agréablement fraîche en ces temps de chaleur, le jeune Arduilanar Theril attend patiemment. Son regard vagabonde de tous côtés, à la recherche de celui qui lui a donné rendez-vous, et se fixe brièvement sur un ruisseau, l'antre béante d'une caverne, un rocher... Enfin, il perçoit une présence familière. Il se lève dans un élan de joie, le sourire aux lèvres, et court jusqu'à Thirnaedil, son frère aîné. Grands, élancés, le visage fin, les deux frères de la famille Theril se ressemblent beaucoup. Thirnaedil, son aîné de vingt ans, a perdu l'air innocent et candide d'Arduilanar, qui à ses yeux n'est qu'un enfant. Il faut dire qu'il n'a même pas achevé son premier siècle d'existence. Quant à lui, la fureur des combats qu'il a dû mener l'a définitivement fait passer dans l'âge adulte. Il revient d'ailleurs d'une campagne dans le Nord, étant parti avec vingt autres princes Dragons secourir leurs frères de Chrace assaillis par les Druchii.
La vie des bûcherons du Nord n'est guère aisée. En ces temps troublés, les raids des elfes noirs se multiplient, et le royaume nordique est souvent le premier touché par la guerre. Bien que la vaillance des guerriers de Chrace et des lgendaires Lions Blancs soit grande, ils ne sont pas toujours de taille à repousser leurs sombres cousins. Quand, une fois de plus, les Arches Noires avaient vomi sur les rivages immaculés d'Ulthuan des flots de guerriers vêtus de noir, de monstres polycéphales et de machines de guerre aux traits acérés, les populations des petits villages forestiers avaient été évacués vers Tor Achare, où les stratèges des Asurs estimaient qu'elles seraient plus en sécurité. Habituellement favorisés par le terrain, les Lions Blancs se retrouvaient enfermés entre des murailles, ne pouvant compter sur leurs tactiques d'embuscades et de guérillas sylvestres. L'erreur des straèges avantageaient les Druchii qui, soulagés de ne pas avoir à combattre les guerriers de Chrace là où ils étaient avantagés, assiégèrent Tor Achare.
Pendant plusieurs semaines, les défenseurs agglutinés sur les remparts voyaiet, impuissants, les forces ennemies qui se massaient au pied des murs étincelants de la cité et préparaient le siège. Les nombreuses balistes des elfes noirs firent des dégâts considérables parmi les rangs des Asur, qui ne disposaient quant à eux d'aucune machine de guerre pour y répondre. Voyant la situaion se dégrader rapidemet, le prince de Tor Achare fit appel aux autres royaumes d'Ulthuan. Avec les vingt Dragons qu'elle envoyait, la participation de Caledor fut des plus remarquées et des plus appréciées. Menés par Thirnaedil et son Dragon Stellaire Galemion, les renforts venus du Sud défirent en moins de deux jours les elfes noirs, et Tor Achare fut sauvée. Seul point noir au tableau, le prince de Tor Achare avait été assassiné durant la nuit par un Druchii, qui s'était introduit dans la cité malgré les défenses.
Les assaillants survivants se replièrent dans les forêts, offrant l'occasion aux Lions Blancs de faire preuve de leurs talents de forestiers lors de la traque de leurs ennemis, qui furent presque tous retrouvés et exterminés.
Les délégations des autres royaumes purent quitter Chrace après avoir été dûment remerciés par la population (remerciements peu appréciés de certains guerriers de Caledor, considérant les rudes bûcherons de Chrace comme des sous-elfes à peine supérieurs à la racaille humaine ).


Est-ce que c'est mieux ?

Non, garde les fleurs !

C'est pas forcément mieux, l'autre était bien aussi.
C'est plus long et donc plus détaillé. Et donc mieux.

Je compte surtout en profiter pour gommer les détails gênants.
Le premier texte n'était qu'un premier jet, je n'avais pas encore d'idée précise de ce que je voulais faire.

Thirnaedil était donc rentré, après avoir envoyé à son frère un oiseau porteur du message qui lui donnait rendez-vous dans la plaine des Dragons, le dixième jour du deuxième mois d'été. Il affirmait avoir des choses importantes à lui dire. Arduilanar était parti tôt le matin vers la plaine, et y avait attendu une demi-journée l'arrivée de son frère, qui revenait en héros.
Mais déjà Arduilanar a oublié le temps qu'il a passé seul à patienter. Il ne pense plus qu'à son frère, son modèle depuis sa plus tendre enfance, celui qu'il a toujours admiré, vénéré même. Il le presse de questions sur la guerre, les elfes noirs, sur le territoire de Chrace.
"-Sois gentil, petit frère, attends que j'ai répondu avant de poser une nouvelle question.
-J'aurais tant aimé être à ta place, et combattre pour mon peuple sur le dos d'un Dragon. Quelle chance tu as d'avoir pu chevaucher Galemion...
-Toi aussi, tu combattras un jour sur son dos. Tu n'as pas idée de la sensation de puissance que l'on peut éprouver lorsque l'on fonce vers le sol, piétinant les ennemis, les carbonisant du soufffle du brûlant d'un dragon... mais ce n'est pas ce que j'avais à te dire. Tu te rappelles du contenu de ma lettre ?
-Bien sûr. Tu disais vouloir me parler d'une chose particulièrement importante à propos de laquelle je devais garder un secret absolu.
-C'est bien ça.
-Alors, qu'est-ce que tu voulais me dire ?
-Chaque chose en son temps.Tout d'abord, je voudrais savoir ce que l'on t'a appris sur les elfes noirs.
-Les elfes noirs sont nos cousins, qui se snt séparés de notre peuple suite à la Déchirure. Traîtres, fourbes et corrompus, ils nous ont attaqués par surprise sous les ordres de leur chef dépravé Malékith, mais nous les avons repoussés et chassés hors de notre terre. Ils ont été contraints de se réfugier à Naggaroth, la terre du Grand Froid, inhospitalière et hostile, d'où ils envoient aujourd'hui encore de nombreux raids vers nos terres et le Vieux Monde.
-Je vois que ton précepteur a bien fait son travail. Maintenant, jure solennellement que tu ne répéteras jamais ce que je vais te dire.
-Pourquoi ?
-Fais-le, c'est tout. Ou je ne te dirai rien.
-Très bien. Je jure solennellement par Asuryan tout puissant dont la parole est sacrée plus que toute autre, dieu de lumière et de vérité, et qui me protège du mensonge et de la calomnie, que je ne répéterai à quiconque les paroles que tu vas m'adresser.
-C'est bien, très bien. Je vais te raconter ce qui m'est arrivé durant que combattais dans le Nord.

Tu comptes pépéter ça à quelqu'un ? Si oui, ça permetterait de te maudire. Et donc une quête pour racheter ton honneur. Je sens que tu ne seras pas d'accord.

"J'ai calquer ce perso sur moi il manque juste le coté sadique."
à ce propos, j'ai toujours pas eu de réponse.
Tu gardes tous, vraiment tous les traits de caractère ? En particulier la tristesse.

à moins que le "ça me va" n'était destiné qu'à tes vacances en Naggaroth ?
Pourquoi personne n'est jamais d'accord avec moi ?

C'est surtout pour inciter quelqu'un à remplir ma Taverne.

Je préfère l'idée d'un descendant d'Aenarion. C'est plus la classe.

C'est carrément capillo-tracté, mais bon.
ça fait gros roxxor, au passage. Mais bon.

C'est ton personnage, t'en fais ce que tu veux.

Le fait de descendre d'Aenarion le Maudit explique ma destinée tragique, la trahison de mon frère. Le but de mon existence sera de dépasser cette malédiction. Mais j'ignore pour l'instant ma réelle ascendance.

Et puis, je n'ai pas d'autre idée valable pour l'instant.

Citation :

Tu gardes tous, vraiment tous les traits de caractère ? En particulier la tristesse.

Pas de tristesse juste un perso froid, arrogant et fort d'esprit.

Citation :

à moins que le "ça me va" n'était destiné qu'à tes vacances en Naggaroth ?

Bien sur. Tu t'attendais a quoi?

Citation :

Pourquoi personne n'est jamais d'accord avec moi ?

Ta de ces idée parfois.

"Et puis, je n'ai pas d'autre idée valable pour l'instant."
Si, briser ton serment.

Mais bon.

"Pas de tristesse juste un perso froid, arrogant et fort d'esprit."
Tout ses potes sont morts.
Son lion est mort.

"Bien sur. Tu t'attendais a quoi?"
Et bien, au reste.

"Dénué de tout humour.
Pas d'éclats de rire, pas de sarcasmes. Glacial et dur comme l'acier.
Tu es devenu une machine à tuer dénuée de sentiments autres que la haine, la soif vengeance, etc. La tristesse, si tu veux. Et pourquoi pas la loyauté.
Toute joie t'es étrangère.
Pas de moquerie, donc. C'est un concept qui t'es devenu totalement étranger. "

Allez, depêche toi de poster dans ma Taverne ! Et que ça saute. Pitié.

Pourquoi vous parlez de ça ici ?


Et puis, le serment brisé ne fait pas assez sérieux. En tout cas, pas cette promesse-là.

Tu as juré sur Asuryan tout puissant.

Si c'est pas du sérieux.

La promesse est sérieuse, mais pas son contenu.

Ce n'est pas un serment lourd.

J'aurais pu faire le serment de venger mes parents assassinés par mon frère. Ce qui est bien mieux et explique que je doive à tout prix le retrouver.

Si je comprend bien, chez vous, on jure sur Asuryan n'importe quand et n'importe comment.
Et on brise ses serments à l'envie.

Bande de dépravés.

Je ne vais pas briser ce serment-ci.
Ce qui m'empêchera de me défendre face à mes accusateurs. D'où ma fuite pour éviter le bourreau.

Et je vais tout faire pour retrouver mon frère et accomplir ma promesse de venger mes parents (adoptifs).

Très bien.

Reste à définir mon lien avec le Dragon. Par exemple, que j'aie été recueilli par lui. Mais pourquoi ? Peut-être pourrais-je être un lointain descendant de Caledor Dresseur de Dragons, à défaut d'Aenarion.

Toujours cette descendance.

Mais comment être recueilli par une bestiolle qui dort tout le temps ?