Conseil des Nobles

[J'espère que j'en ais le droit]

Voilà, je vous rapporte mon avancement dans Medieval II Total War (mod ajout de ville et un tour = 3 mois). Vous serez libre d'y dire/conseiller/critiquer comme vous le voulez, et si possible en RP


Année 1000.

Je suis le guide de la nation Portugaise, par la force je me suis emparé du trône. Je vise à la suprématie de mon règne. Pour le moment je ne possède que deux régions et deux villes, bien maigre empire.
Si les routes se tracent doucement et que l'agriculture se développe à peine, je recrute déjà des troupes en préparation de la guerre. Mais j'ai choisi de d'abord pacifier mes régions, me faire de puissants alliers et de me trouver un ennemi.

- Le prince Affonso écrase des soldats rebelles. Il mène par le nombre mais il tombe dans un piège et ne sauve sa cavalerie légère que par miracle. Il obtient après un léger accrochage la fuite des fantassins adverses, il massacre ensuite les cavaliers ennemis et charge en personne les rangs d'archers qui prennent la fuite. La victoire est au bout.

- Le Portugal déclare la guerre aux Maures et le prince assiège la capitale Maure, Cordoue, il ne prend pas le temps de rééquiper ses hommes. Il pense vaincre car la villes est faiblement défendue.

- Des accords commerciaux sont signés avec les Espagnoles.

- Nos espions infiltrent une ville ennemie avec un talent rare.

- Gill de Grasto épouse Marie et rentre dans la famille dirigeante.

- Les Maures répondent au siège de Cordoue en envoyant des éclaireurs. Gill les intercepte sur leur propre terre. Il les y extermine et parvient à tuer de ses mains le capitaine ennemi. Cependant ses gardes du corps en payent le prix fort et se font quasiment tous décimer. Mais Gill remporte la victoire. Le royaume ayant besoin d'or il décide d'échanger les prisonniers, les Maures refusent, les prisonniers sont exécutés. Ainsi s'achève la bataille de la Tour de guet.

Monseigneur, permettez-moi de vous apporter conseils dans cette noble entreprise qu'est la conquête du monde.

Avant de porter la guerre sur les territoires voisins, soyez sur que vos propres terres n'en profiterons pas pour se soulever contre votre autorité. Il convient de satisfaire le peuple, afin qu'il soit heureux et vous offre tout le soutient nécessaire pour garnir les rangs de vos fières armées.

Faite construire des routes bien entretenue pour faciliter les échanges commerciaux, vos régiments en profiterons également pour se déplacer plus rapidement. Ne laissez pas de coté l'agriculture et l'industrie, avec du travail et le ventre plein, vos sujets n'iront pas dans des tavernes mal-famés pour comploter et monter des révolutions.

N'hésitez pas à envoyer des émissaires jusqu'en France ou en Angleterre pour signer des contrats commerciaux, vos caisses se rempliront plus facilement. De plus, votre flotte permet d'apporter vos diplomates plus vite et plus loin que la route.

Pour roder votre stratégie, viser les communautés de pirates et de rebelles, mais prenez garde à ce qu'un puissant voisin n'ait pas la même idée avant vous.

Il me semble que c'est assez d'informations pour bien débuter.

Voilà de bien beaux conseils, comme toujours. Mais sachez que j'ai mené de nombreuse guerre. Dans mes précédentes incarnations j'ai conduit la France et par deux fois les Anglais à conquérir le monde. Vous avez cependant raison sur un point, je vais peut être un peu vite en besogne. Mais je suis avide de gloire, mon empire se bâtira dans la mort. La guerre sera ses pierres et le sang son mortier.

Petit conseil d'un seigneur de Sicile si je puis me permettre : quelques blocus de ports ennemis permettent aussi de renflouer les caisses de l'Etat.

An 1000

Les Maures envoie un émissaire, il est reçu et traité avec respect. Il nous propose de faire la paix et d'oublier les combat durant lesquels nous avons mesurés nos forces. Les caisses étant pis que vide, nous somme contraint d'accepter. Mais nous signons des accords commerciaux, qui seront profitables à nos deux peuples.

- Le siège de Cordoue est donc levé.
- Ordre est donné au Prince de faire jonction avec les forces de Gill.

- Les deux armés combinés embarquent et se retrouvent en France. À peine le débarquement achevé la ville rebelle de Bordeaux est prise d'assaut, elle tombera après un combat acharné dans ses rues. Notons la vaillance de l'infanterie qui en plus de repousser et d'écraser une sortie de la cavalerie, a affrontées les ennemis en essuyant un tir d'archers. La victoire fut remportée mais l'infanterie a payée un lourd tribu.

Les caisses sont désespérément vides. Votre conseil est retenu, nous allons faire blocus des ports adverses, mais qui sera la cible ? La France chez qui nous venons de prendre pieds ou l'Angleterre qui ne nous connait pas ? Peut être que nous devons voguer plus loin que cela...

Grand seigneur, j'ai été envoyé à vous par mon bienveillant maitre, le Roi par delà les mers. En ces heures sombres, je vous apporte mon conseil et l'expérience d'une civilisation plusieurs fois millénaires...

Sachez messire que les diplomates sont fourbes, tous autant qu'ils sont. Leurs paroles mielleuses ne sont que poison, et leur main tendue cache toujours un poignard à la lame empoisonnée. Mon seigneur a toujours fait preuve de sagesse à ce sujet, et aucun ambassadeur ne pénétrant nos palais n'en est jamais ressortit pour s'en vanter.
Les alliances sont fragiles, si votre ennemi en viens à vous supplier de cesser les combats, c'est que la guerre est devenue bien trop dure à supporter pour lui ! Ne cédez pas à ses supplications, redoublez de vigueur et ne montrez aucune pitié !
Que vous a dit cette vermine sarrasine à la langue fourchue ? Vous a t-il assuré de la gratitude éternelle de son peuple ? Ah ! La peste du maraud ! Lui et son seigneur se rient de votre crédulité au milieux de leurs palais miteux ! Est-ce ainsi que vous souhaitez être reconnu ? Comme la risée de tous les peuples du monde ?

Déployez vos armées, développez vos villes et punissez violemment quiconque ose s'en prendre à vous ! Assiégez l'ennemi, car il n'est nul besoin de monter à l'assaut quand trois jours suffisent à faire venir s'empaler les flots de vermine affaiblis d'en face sur vos rangs ordonnées de troupes fraîches !

Le monde est entre vos griffes mon seigneur, serez vous assez vif pour le saisir ?

[petit Hrp : je voulais souligner la joli prestation d'albericus. non vraiment, j'aime bien ]

Noble seigneurs. Je suis un commandement vieux et expérimenter. J'ai servi de tacticien et créer des empires puissant avec peut. Cela est simple a faire en réalité. Voici mon conseil:

-Créer une armée d'élite constituer d'un millier d'hommes environs et ne laisser que des milices, en priorité des hommes de tir, pour défendre vos ville.

-Briser le moral adverse en remportant des batailles dites perdu d'avance. Jouer sur le terrain, garder les lignes, charger l'unité la plus démoralisé, renforcer votre ligne au bon moment, usée des charges de cavalerie lorsque l'ennemi devient trop pressent a un endroit puis rebroussez chemin pour laisser votre infanterie d'élite s'engouffrer dans la brèche.

-Préférer la qualité a la quantité.

-Préférer le pillage a l'extermination.

-Défendez les ponts avec des hommes d'élites, ou barrer le passage d'un col de montagne grâces a un camps. Une poignée d'hommes d'élite peut tenir tête a une armée plus nombreuse et de moins bonne qualité tant qu'elle utilise le terrain a son avantage.

-Ne vous laisser pas enivrez par une série de victoire éclatante. Vous pourriez tous perdre.

Des mots messieurs, rien que des mots, me croyez-vous sot au point d'ignorer pour quelle raison vous avez chargé de conduire ce peuple à la victoire suprême ? Oui, je sais que les alliances sont fragiles et incertaines mais le principal moteur d'une guerre, à savoir l'or, me manque cruellement. Ceci ma conduit à de dures extrémités comme signer des accords commerciaux avec l'Angleterre et la France puis de réfréner mes soifs de conquête.

D'ailleurs j'annonce que désormais l'Espagne est notre amie... mais rassurez-vous, pour un temps seulement.

Mes soldats s'empâtent et s'ennuie, ils restent en garnison dans les villes, à attendre des ordres qui ne viennent pas car il n'y a pas d'or pour consolider leurs rangs de troupes fraîches.

Mais je suivrais vos conseils, du moins dans un certain ordre. Il me faut construire une économie solide, quitte à m'allier à d'autres. Mais quand les coffres seront emplis d'or... le sang et la mort se répandrons à travers le monde et je mènerais ce peuple à la grandeur qui lui est dû !

An 1010

Après 9 années, notre nation c'est fièrement relevée pour devenir la faction la plus riche. J'ai tout de même dû disperser une partie des troupes. Après avoir largement développé l'agriculture et le commerce, l'or a été investi dans des projets militaires, pour entrainer plus d'hommes et de nouveaux, les équiper de façon plus efficace.

Des accords ont été signés, des alliances bâties. Mais ces bonnes nouvelles ne voilent pas la haine qui me étreint le cœur, en effet, la France qui venait à peine de passer des accords commerciaux à lâchement établie un blocus sur l'un de nos ports et malgré plusieurs attaques, le blocus persiste, saluons tout de même les Maures qui se sont précipités à notre secours, sans résultat, mais d'autres navires cinglent vers nos côtes.

Nous ne disposons pas de forces suffisantes pour faire payer cet affront au français mais vous pouvez être certain d'une chose. Sitôt les troupes nécessaires assemblées, elle marcherons sur la France pour laver l'insulte dans le sang. Magnanime nous offrirons à ces traîtres, deux choix. Tout d'abord nous massacrerons et pillerons la France tant que Paris ne sera pas notre, à ce moment là nous demanderons juste réparation, si la France refuse, nous la détruirons sans pitié ! Si elle accepte... ma fois, nous scellerons tout de même son destin, qu'elle goute ce poison qu'est la traîtrise.

["Préférer la qualité a la quantité.

-Préférer le pillage a l'extermination."

C'est marrant, j'ai toujours préféré l'inverse .

Submerger l'ennemi et exterminer la population de chiens d'infidèles, Allah wack bar!]

Mmmh, ayant autrefois accompagné l'armée espagnole, je n'ai pu qu'admirer leur souverain qui avait préféré conquérir la péninsule ibérique et exterminer les Maures.

Aussi je vous le dis, s'étendre vers la France n'est peut être pas une bonne idée, mais après tout, vous êtes le roi. En effet, la France est souvent attaquée de tout côté et n'ira pas traverser les pyrénées pour vous importuner. Il est donc plus simple de prendre en premier temps toute l'Espagne et l'Afrique du Nord.

Ensuite, quelques croisades en terres saintes pourraient rapporter terre, gloire et richesses...

Le pape ! Qu'enfer le prenne , le graille et le toaste ! Toujours à divaguer sur l'entente entre les peuples, toujours à ordonner d'improbables croisades qui n'auront pour résultat qu'une défaite cuisante des mains des sarrasins ! Car si les peuples de Dieu peuvent s'emparer de Jerusalem, conserver la ville sainte se révèle autrement plus difficile ! Les païens disposent d'armes inimaginables, vos légions de vaillant chevaliers s'embourberont dans le sable traître et s'éparpillerons devant la charge des démons gris appelés Oliphants ! La science des hérétiques est diabolique, leurs armes peuvent embraser un homme en armure ou répandre la mort à cent pas !
En vérité je vous le dit grand seigneur, laissez donc babiller le Pape. S'il tiens tant que cela à sa ville soit-disant Sainte, il s'en ira la quérir lui même, au lieu de profiter des richesses des Rois ! Mon seigneur a toujours eut une façon bien personnelle de s'attirer les faveurs du Pape, et soyez assuré que jamais un homme de Dieu ne c'est mit entre mon Roi et sa soif de pouvoir...

La France messire, est un valeureux adversaire, mais qui peut aisément être brisé. Ses frontières trop nombreuses et la richesse de ses terres attirent bien des convoitises, pourtant s'il est un pays que l'on peut croire, c'est bien celui des Francs. Leur parole est juste, et soyez assuré qu'ils marcheront à vos cotés si vous leur en donnez l'occasion. Alimentez leur haine pour l'Anglais, et soyez assurés que le Roi de France lui même vous obéira.

[Hrp : Merci Fanatik, c'est l'expérience d'un maitre des assassins qui parle ]

An 1011

Le blocus est brisé et la flotte en déroute. Mais de bien sombres nouvelles obscurcissent mon esprit. Nous avons commencé à constituer une armée dans le but d'envahir l'Espagne et de prendre Compostelle à quelques lieux de l'une de nos villes, seulement un tremblement de terre a retardé nos projets, tuant de nombreux civiles et soldats. Mais il ne nous a fallut que très peu de temps pour pallier au problème, notre armé menée par le Gouverneur local marche sur Compostelle. Nous avons également établi un blocus sur le port, juste avant d'apprendre que les Espagnoles en avaient fait de même pour Poitiers, ils nous faudra lever une seconde flotte pour soulager notre port. Voilà pour les bonnes nouvelles du Portugal, car les événements de France sont sanglants et mauvais.

Une puissante armé Française se tenait à nos frontières, étant en guerre contre eux il était légitime de pense à une attaque. Aussi Gill de Grasto fut envoyé là bas avec une puissante armé, correctement équipée et motivée. Hélas nous avions engagé nos forces quand nos espions nous ont rapportés qu'une deuxième armé ennemie se dirigeait vers nous à marche forcée. Cependant Gill a ordonné l'attaque, espérant briser les troupes principales et s'occuper tranquillement des renforts.

Une stratégie valable et audacieuse. Mais Gill n'avait pas prévu de subir une cuisante défaite, ses troupes se battaient comme des démons mais la supériorité de la cavalerie et son surnombre ont eu raison de nous. Nos effectifs fondaient comme neige au soleil... et je suis au regret de vous annoncer que le digne héros de la Tour à périt au combat. Gill de Grasto est mort.

Le combat a continué un moment sans lui mais la retraite fut très vite ordonnée quand les renforts adversaire furent là. Nous avons tenté de sauver ceux qui pouvaient encore l'être. D'après nos estimations, les trois quart de nos hommes sont morts. Soit environs 950 soldats tombés au champ d'honneur. les Français ont bien évidemment fait des prisonniers. Poitiers étant dangereusement vulnérable, nous avons payé.

An 1014

Alors même que la défaite face aux Français nous brûle encore le coeur, le Pape, cet homme répugnant qui n'a jamais posé un pied sur un champ de bataille et qui n'a pas assisté, impuissant au massacre de ses troupes, à l'impudence d'interdire à moi ! De porter la mains sur ces damnés Français ! Il paiera cette insulte un jour ou l'autre, il regrettera d'avoir provoquer l'ire de nos soldats.

Il faut croire que nous somme maudis, le Roi Henrique meurt après avoir atteint un grand âge, son fils, Affonso, qui tente de faire la guerre en France est couronné roi.

Néanmoins de bonnes nouvelles du front Espagnol. Le Gouverneur, qui menait les forces d'invasion sur Compostelle décède dans des circonstances très étranges, nous en savons pas plus. Mais l'assaut est maintenu. Nos espions avaient pus infiltrer la ville pour nous ouvrir les portes. Les troupes dirigées par un valeureux capitaine s'engouffrent par la porte et y exterminent l'ennemi de façon nette et impitoyable. Compostelle tombe, c'est une grande victoire !

Près des côtes, une flotte Espagnol prend pour cible nos navires, mais ce fut sans compter avec l'aide des Maures qui coulèrent les navires Espagnols. De plus, le capitaine Martym s'illustre au combat en attaquant, à la tête de sa cavalerie, des soldats Espagnols les prisonniers seront d'ailleurs exécutés. La victoire est elle que Matrym est anobli.

Mais en France, une grave nouvelle vient ternir les réjouissance, le prince Johan est assassiné... nous ignorons pas qui, mais nos soupçons se tournent vers les agents Français ou peut être Espagnols. Les funérailles seront emprunt de tristesse, la nation est endeuillée.
Mais nous apprenons, à notre grande surprise, que la France demande à être notre vassal. Nous acceptons, il faut garder ses amis proche de soi et ses ennemis plus encore.

Notre puissance militaire se retournent donc contre notre ennemi qui croyait à la paix après avoir signé des accords commerciaux. Le général Matrym regroupe une armé et marche droit sur Salamanque et en commence le siège. Dans en même temps, Le Roi Affonso décide de retourner au Portugal non sans laisser un souvenir aux Espagnol car il débute le siège de Pampelune avec son armé. Les défenses des villes, selon nos stratèges, ne poseront pas de problèmes, bientôt nous possèderons de nouveaux territoires.

En secret nous échafaudons un complot d'envergure, pour nous venger du Pape et de son arrogance. Nous voulons lever le plus grande armé qui n'a jamais foulée cette terre et marcher sur le Vatican pour jeter à bas le Pape et mettre l'Italie à feu et à sang. Il reste à décider de la composition de nos troupe. Certains généraux conseillent de recruté notre si fameuse cavalerie légère dont les javelots peuvent être projeté même en pleine course, nous croyons que notre futur ennemi ne dispose pas de telle troupe. J'attend vos réactions messieurs.

En vérité messire, votre sagesse n'a d'égale que votre grandeur ! Mon seigneur tiens à vous assurer son soutiens absolu et il approuve votre géniale stratégie. Néanmoins, pour avoir lui même rencontré quelques déboires avec le Vatican, mon maître ne saurait que trop vous conseiller de vous assurer le soutient du collège des cardinaux avant de lancer la moindre action contre le Pape ! Le bas peuple est en effet des plus intenables si par malheur la nation se vois désavouée par l'église.
Si vous tenez à affronter le Pape, oeuvrez méticuleusement. Frappez vite et fort, affrontez le sur le champ de bataille dés les premiers jours du conflict, le Vatican ainsi désemparé devra nommer un nouveau dirigeant, et si le collège des Cardinaux est à votre botte, nul doute que le nouveau Pape saura vous apprécier justement...